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martedì 15 febbraio 2022

francese letture - Versailles

 francese letture - Versailles


Plus qu'un cha^teau, e plus que le cha^teau d'un roi. Versailles est avant tout une époque et un art de vivre. C'est la France qui veut briller, dominer, surprendre. A tous prix et dans tous les domaines, C'est là qu'on va décider du sort de l'Europe : Versailles sera le siége du gouvernement de 1682 à 1789. C'est là qu'on va consacrer les plus grands artistes :  on y représentera Molière et Racine. Mais c'est là surtout que Louis XIV décide de passer à la postérité  en construisant un monument à sa propre gloire, à la gloire du Roi soleil ! Que Versailles soit donc un feu d'artifice ! Et il fait appel aux meilleurs architectes du royaume : Le Vau et surtout  Mansart, à qui l'on doit la Galerie des Glaces et le Grand Trianon, alors que Le Brun se voit confier toute la décoration du cha^teau. Les Jardins  ne seront pas del jardins mais una oevre d'art, et elle sera signée Le No^tre, mai^tre incontesté de la géométrie e des grandes perspetctive entrecoupées  de jeux d'eau. Et on y étigera 200 statues pour assurer à sSa Majesté une légende  à sa mesure et raconter auz générations futures  la splendeur de son régne.

domenica 7 febbraio 2021

francese - lettura articolo Le Figarò

francese - lettura Le Figarò

Proportionnelle : Bayrou maintient la pression sur Macron mais refuse de lui faire du «chantage»

Invité du «Grand Jury» RTL-Le Figaro-LCI dimanche, le haut-commissaire a également esquissé un «Plan Marshall» d'après crise.C'est ce que l'on appelle le «carpet bombing». La technique est bien connue de François Bayrou. Elle consiste à se saisir d'une idée ; à la marteler autant que possible - parfois jusqu'à épuisement ; et à espérer qu'elle finisse par être entendue. Depuis son interview au Figaro , dans laquelle il exigeait que la proportionnelle soit soumise aux Français par référendum, le président du MoDem n'a pas rendu les armes sur ce sujet dont il a fait l'un de ses marqueurs politiques. Bien au contraire. Invité du «Grand Jury» RTL-Le Figaro-LCI dimanche, le maire de Pau a une nouvelle fois défendu ce projet, qui lui tient à cœur de longue date. «C'est un des engagements de campagne (d'Emmanuel Macron) . [...] Ça faisait partie de notre alliance», a-t-il d'abord rappelé. Manière de mettre la pression sur le chef de l'État pour qu'il accède à cette promesse avant 2022 ? «Je ne fais pas de chantage», a balayé le centriste, refusant dePour autant, et bien qu'il affirme n'avoir «aucune envie» de se «disputer» avec le président de la République, le haut-commissaire au Plan a maintenu la pression sur l'exécutif. «

On ne peut pas continuer comme ça, avec un Parlement dont les électeurs se détachent, ne participent plus aux élections et, lorsqu'ils ont une difficulté avec une décision qui va être prise, n'ont plus qu'une chose à faire : manifester, aller vers les blocages, les grèves et les violences», a-t-il alerté. Selon lui, il existe en effet un cruel manque de représentativité à l'Assemblée nationale, qu'il juge intrinsèquement lié au mode de scrutin des législatives (majoritaire à deux tours). En témoigne la présence quasi-anecdotique du Rassemblement national sur les bancs du Palais Bourbon. «Marine Le Pen, elle a été au deuxième tour de la présidentielle (de 2017). Elle a fait 35% des voix. Et elle est revenue un mois après avec six députés ! Un pourcent des sièges !», s'est-il étranglé. «Je pense que ça a joué un très grand rôle» dans l'apparition du mouvement des «gilets jaunes», a-t-il ajouté.

D'où son insistance pour tenter d'obtenir gain de cause avant la fin du quinquennat, quitte à devoir réaliser certaines alliances contre-nature pour y parvenir. «Je ne mène les combats que quand je pense qu'il y a unechance de les gagner», affirme-t-il. C'est dans cette logique qu'il a récemment écrit une lettre ouverte au chef de l'État. Sa missive n'a pas reçu de réponse à ce jour, mais elle a recueilli l'assentiment d'une grande partie de la classe politique : «depuis l'extrême gauche jusqu'à l'extrême droite, en passant par le centre et les écologistes». Seuls les partis traditionnels que sont le Parti socialiste et Les Républicains ont refusé de s'y associer, suscitant parfois quelques remous internes dans leur camp. «C'est un sujet sur lequel l'alliance des citoyens est souhaitable», a-t-il réclamé, invitant toutes les forces du pays à dépasser leurs réticences et à s'unir pour «une démocratie enfin vivante». «Tout le monde aura, d'une manière ou d'une autre, à prendre ses responsabilités», a-t-il jugé.

Vers des hausses des taxes et d'impôts pour financer la dette à long terme ?

 qu'Emmanuel Macron a cédé à la facilité, et qu'il s'est rendu coupable d'une «négation de démocratie» en multipliant les comités de citoyens tirés au sort, François Bayrou a estimé que la crise du Covid devait permettre à la France de repartir du bon pied. Et de poser les bases d'un avenir meilleur sur le plan démocratique, mais aussi économique. Il a ainsi réclamé un nouveau «Plan Marshall», distinct du plan de relance, afin de reconstruire l'appareil productif.

Le haut-commissariat au Plan «proposera» d'ailleurs une «approche» dans ce sens «dès la semaine prochaine», avec «un horizon au moins à trois ans». Projet de dette que les Français devront «être capables de financer» sur le long terme. Quitte à ce que cela passe un jour par des hausses d'impôt ou de taxes, notamment pour les plus aisés ? «Pourquoi pas», a-t-il esquissé, sans toutefois définir précisément les catégories concernées. «4000 euros par mois, pour moi c'est les classes moyennes. [...] Je ne dis pas que c'est les riches», a-t-il glissé.

venerdì 27 marzo 2020

francese - la Corse

francese - la Corse

Les Grecs l'appelaient Kalliste (la plus belle) e les français la surnomment aujourd'hui  l'ille del  Beauté : enchantement assure donc à notre  ruines prestigieuses ou à des plages haollywoodiennes , loin de là La Corse nou fascine au contraire par une nature farouche des cotes rocheuses qui tombent  à pic dans la mer, d'immenses forets de chataigniers et del montagnes qui depassent parfois les 2000 métres. Quant  à ses  habitants fiers et hautains comme leur ile ils  n'hesitente pas, aujourd'hui comme hier à prendre les arms pour  revendiquer leru autonomie. c'est  qu'ils ont trp souvent changé d'identité : il s sont passés tour sous la domination de Rome, de Byance, de Pise, de Genes, de la France, de Genes encore et encore de la France, cette fois  avec Napoléon, l'enfant  prodige de l'ile qui quelques jours avant sa mort a Saint Helene se rappela sans doute son Ajaccio natale avant de soupirer. "nous naissons nous vivons au milieu du merveilleux

giovedì 21 novembre 2019

l'odyssée du petite prince


L’odyssée du Petit-Prince dans le domaine public


Séverine Dusollier
Dans tous les pays de l’Union européenne, la durée du droit d’auteur est de 70 ans après la mort de l’auteur et des règles communes règlent des cas particuliers (œuvres créées par plusieurs auteurs, auteurs pseudonymes ou anonymes). L’ensemble des œuvres d’un auteur entrent donc dans le domaine public à la même date dans l’ensemble des pays européens. Toutefois, quelques règles particulières subsistent.
C’est le cas de la France qui accorde à certains auteurs une durée supplémentaire de 30 ans s’ils sont « morts pour la France ». Certains auteurs ont en effet été inscrits sur une liste officielle d’auteurs morts pour la France parce qu’ils sont tombés au combat lors de l’une des deux guerres mondiales. C’est le cas de Saint-Exupéry, abattu au large Marseille par un avion allemand en 1944. Si le Petit Prince et ses autres œuvres entreront dans le domaine public dans l’Union européenne au 1er janvier 2015 (soit 70 ans après sa mort), elles resteront protégées par le droit d’auteur en France jusque fin 2045 ! (sans doute plus tôt en raison de complexes règles de calcul).
Le droit d’auteur est territorial ce qui signifie que les conditions d’existence du droit et l’étendue de sa protection sont déterminées selon la loi qui s’applique à l’acte d’utilisation de l’œuvre. Par exemple une copie du Petit prince faite à Bruxelles en janvier 2015 n’est pas une atteinte au droit d’auteur car celui-ci a expiré en Belgique au 1er janvier 2015. En revanche, une même copie qui serait effectuée en France reste soumise au contrôle des héritiers de Saint-Exupéry, en raison de ce bonus de 30 ans de protection.
Mettre en ligne une copie du Petit Prince est plus délicat car la détermination de la loi qui s’applique n’est pas facile. Ce devrait normalement être la loi du pays pour lequel la protection est demandée. Si on souhaite faire cesser la mise en ligne en Belgique, cette demande ne peut reposer sur le droit d’auteur qui n’est plus applicable dans ce pays. Si la demande est faite en France, un juge pourrait considérer que l’œuvre mise en ligne, même sur un serveur situé en Belgique, peut être accessible en France et est de ce fait soumise également à la loi française, qui reconnaît toujours la protection par le droit d’auteur pendant quelques années encore.
Ce défaut d’harmonisation entre les pays européens n’est certainement pas ce qu’a voulu le législateur de l’Union européenne, mais dans l’attente d’une décision qui tranche la question en France ou même plus directement d’une décision de la Cour de justice de l’Union européenne, mettre une copie des œuvres de Saint-Exupéry sur Internet et la rendre accessible aux internautes français comprend un risque d’atteinte au droit d’auteur.

C’est là un bien grand mystère. Pour vous qui aimez aussi le petit prince, comme pour moi, rien de l’univers n’est semblable si quelque part, on ne sait où, un mouton que nous ne connaissons pas a, oui ou non, mangé une rose…
Regardez le ciel. Demandez-vous: le mouton oui ou non a-t-il mangé la fleur ? Et vous verrez comme tout change…
Et aucune grande personne ne comprendra jamais que ça a tellement d’importance

domenica 17 novembre 2019

francese letture da Le monde

En s’acquittant le 15 novembre – pour ceux qui ne sont pas mensualisés – de leur taxe d’habitation, 17,6 millions de foyers, sur les 29,5 millions d’assujettis, soit 59,6 %, ont pu constater que celle-ci avait été dégrevée de 65 % de son montant. Alors que le montant moyen, tous foyers confondus, est de 470 euros, il est de 213 euros pour les bénéficiaires de ce dégrèvement, selon le rapport au Parlement sur la mise en application progressive du dégrèvement de la taxe d’habitation sur la résidence principale transmis par la Direction générale des finances publiques (DGFiP) et la Direction générale des finances locales (DGCL) que Le Monde a pu consulter.

Les premiers bénéficiaires de cette exonération progressive de la taxe, qui deviendra totale en 2020, sont ceux dont le revenu fiscal de référence (RFR) n’excède pas 27 432 euros pour une part, majoré de 8 128 euros pour les deux demi-parts suivantes, ou 43 688 euros pour un couple, plus 6 096 euros par demi-part supplémentaire. En ajoutant les 5,1 millions de foyers non soumis à cet impôt en raison de dispositifs d’exonération, de plafonnement ou d’abattement, ce sont ainsi 77 % des foyers fiscaux qui, en 2019, sont non imposables ou bénéficient du dégrèvement. C’était une des promesses phares de la campagne présidentielle d’Emmanuel Macron : exonérer 80 % des contribuables de la taxe d’habitation.

555 euros en moyenne de gain de pouvoir d’achat


Le coût pour l’Etat de ce dégrèvement est estimé à 6,534 milliards d’euros en 2019, après 2,927 milliards d’euros en 2018 lors de l’application d’une première baisse de 30 %. Il se montera à 10,184 milliards d’euros en 2020, lorsque la suppression deviendra totale pour ces mêmes contribuables. Promesse tenue, donc, mais la réserve exprimée par le Conseil constitutionnel, dans sa décision du 28 décembre 2017, sur le traitement qui serait réservé aux 20 % de contribuables restant redevables a contraint le gouvernement à étendre à ces derniers le dispositif de dégrèvement. Celui-ci sera échelonné entre 2021 et 2023, date qui marquera l’extinction totale sur la Habitation principale

venerdì 30 agosto 2019

francese - letture articolo di le monde

Interdiction des portables à l’école, ce qui a changé un an après

Les faits

Mise en place à la rentrée 2018, une loi interdit aux élèves d’utiliser leurs portables dans les écoles primaires et les collèges.
Cette interdiction porte ses fruits selon le ministre de l’éducation Jean-Michel Blanquer, mais elle ne modifie pas en profondeur l’usage du portable chez les jeunes, selon des professeurs et des parents d’élèves.

Interdiction des portables à l’école, ce qui a changé un an après

Les faits

Mise en place à la rentrée 2018, une loi interdit aux élèves d’utiliser leurs portables dans les écoles primaires et les collèges.
Cette interdiction porte ses fruits selon le ministre de l’éducation Jean-Michel Blanquer, mais elle ne modifie pas en profondeur l’usage du portable chez les jeunes, selon des professeurs et des parents d’élèves.

Alors que 90 % des 12-17 ans possèdent un téléphone, cette loi aurait augmenté le temps de lecture des élèves et diminué les cas de harcèlement scolaire ou de visionnage d’images

Un climat plus apaisé

Radouane M’Hamdi, principal d’un collège à Sevran (Seine-Saint-Denis) et secrétaire départemental du Syndicat national des personnels de direction de l’éducation nationale (SNPDEN), estime que cette loi a facilité son travail. « Cela a légitimé mon règlement aux yeux des parents, explique-t-il. Le climat est depuis plus apaisé et je perds beaucoup moins de temps à confisquer des portables ou à régler des problèmes de vol. »
Depuis l’an dernier, les membres de la vie scolaire de son établissement appellent systématiquement les familles lorsque les élèves finissent plus tôt, ce qui rend moins utile la possession d’un mobile. « Certains n’emportent pas leurs téléphones au collège, mais plus ils grandissent plus ils le gardent avec eux », souligne Radouane M’Hamdi.

« Des élèves s’insultent sur les réseaux sociaux »

De son côté, Angélique Adamik, professeure de français dans un collège d’Évry (Essonne), estime que la loi n’a pas changé grand-chose. « Je n’ai vu aucune différence. Le règlement intérieur de notre collège comme dans la plupart des établissements interdisait déjà l’utilisation du portable, explique-t-elle. Dans chaque classe, on a des problèmes de harcèlement. Des élèves s’insultent sur les réseaux sociaux par exemple. »
pornographiques, selon Jean-Michel Blanquer.

À la sortie, « les enfants se ruent sur leurs smartphones… »

Si les élèves ne peuvent plus utiliser leurs portables dans l’enceinte de l’école, ils attendent souvent la sortie des cours pour envoyer des messages ou aller sur les réseaux sociaux. « Le problème s’est déplacé, affirme Marie-Alix Le Roy, créatrice du groupe Facebook Parents unis contre les smartphones pour jeunes. Dès qu’ils passent les grilles de l’école, les enfants se ruent sur leurs smartphones… »

Dans la classe de sa fille de CM1, « la moitié des élèves ont un téléphone portable ». Une réalité qui choque cette mère de deux enfants qui souhaiterait que les parents ne donnent plus un smartphone aux enfants de moins de 15 ans « pour les préserver des images choquantes et du harcèlement ». « L’interdiction est un premier pas, mais maintenant il faut baisser la pression sociale, estime Marie-Alix Le Roy. Sans smartphone, ma fille se sent différente. Dans la cour de récréation, les enfants parlent de leurs conversations sur Whatsapp ou de leurs vidéos sur TikTok et elle a l’impression de n’être au courant de rien. »
Un problème plus large qui ne concerne pas uniquement les téléphones portables : « On essaie de sensibiliser les élèves face aux dangers des réseaux sociaux. On leur explique également que les écrans influent sur leurs concentrations, détaille Angélique Adamik. Mais c’est difficile de les raisonner. Ça fait vraiment partie de leur génération. »